Ma nouvelle fantastique

Bon j'ai un travail à faire pour le bahut et j'ai fais un petit truc dites moi ce que vous en pensez :D :


La chambre maudite.

Il y a un an jour pour jour, l’expérience la plus traumatisante de ma vie se produisit. Voici mon histoire : Quelques jours avant l’incident, j’étais encore journaliste pour la rubrique d’art du journal « La Terre ».
J’étais spécialisé dans la peinture et mon peintre favori était Van Gogh. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je fus émerveillé quand je reçus l’autorisation de séjourner dans la maison de ce fameux peintre, de dormir trois nuits dans sa chambre et de manger dans son salon. J’avais suggéré que ce séjour m’aiderai à mieux comprendre ce que ressentais Van Gogh et apparemment cette demande avait fait impression auprès du propriétaire.
Je préparai vite mes affaires, ferma les ferma les volets ainsi que la porte à double tour. A présent, j’étais devant la maison, à la fois hésitant et très curieux. Après quelques minutes, je me décidais enfin à frapper à la porte. Le propriétaire m’ouvrit, me fit une petite présentation de la maison. Il m’expliqua qu’il partira le soir même et qu’il reviendrait dans trois jours. Il me fit visiter puis m’indiqua où était ma chambre mais refusa catégoriquement de m’y accompagner. J’entrai doucement ; voyant la chambre de plus en plus. C’était une chambre assez normale, mais le ménage n’avait pas été fait depuis longtemps. Il y avait un lit poussiéreux, deux chaises accompagnées d’une table. Il y avait aussi une table de chevet placée a côté du lit. J’ouvris la fenêtre et fis un peu de ménage, le strict minimum.

Avant de partir, le vieil homme me parla avec un ton sérieux et prononça quelques mots : « Prenez garde jeune homme, on raconte que la chambre est hantée par un esprit, j’en ai moi-même fais l’expérience. » Il leva lentement sa main pour me montrer son oreille, elle avait été coupée. J’avais été tellement excité à la vue de la maison que je ne l’avais pas remarqué. Il partit sans dire un mot de plus.
Je ne suis pas superstitieux et encore moins effrayé par cette « mise en garde ». Après le départ du vieillard, que je prenais pour un fou à présent, je commençais à rédiger mon article. Vers vingt-deux heures je décidais d’aller me coucher. J’entrai dans la chambre et me plongeai dans le lit qui grinçait sous mon poids. Plus tard dans la nuit, à minuit plus précisément, je me réveillai en sursaut le lit était taché de sang, il me sembla que c’était mon oreille qui saignait.

Pris de peur et de panique, mes mains tremblantes prirent mon téléphone, j’appelai les urgences qui arrivèrent assez vite et qui m’emmenèrent à l’hôpital.
Je fis libérer assez vite, on me laissa sortir dans l’après-midi. Mon oreille avait été coupée et on ne la retrouva pas dans la chambre. Je rentrais une dernière fois dans ce lieu maudit pour plier baguage. Au moment de partir, j’ouvris la porte, deux policiers étaient sur le point de rentrer. Je les invitai à entrer dans le salon pour prendre un café, ils acceptèrent. On parla de l’affaire. J’appris avec stupeur que les médecins qui m’avaient secourus avaient signalé que la porte était ouverte à leur arrivé. Ils me proposèrent de mettre au point un plan pour attraper le malfaiteur qui m’avait coupé l’oreille. Je devais de nouveau passé la nuit dans la chambre et faire un signal si quelqu’un pénétrait dans la pièce. J’acceptai, après un long moment de réflexion. Les policiers appelèrent un autre homme, qui installa une caméra cachée dans la chambre. Une équipe était placée dehors dans une camionnette, pendant qu’une personne visionnait la télé branchée à la caméra, quatre autres personnes se tenaient prêtent à intervenir au moindre mouvement. On m’avait donné une arme afin que je puisse me défendre en cas de besoin.

Je n’arrivais pas à fermer l’œil mais je fis quand même semblant, croyant que cela attirerait l’étrange personnage. Les coups de minuits retentirent, le sol grinçais sous le poids lourd d’un homme, peut-être était-ce un des policiers ? Peut-être étais-je en plein rêve ? J’étais terrifié, le bruit se rapprochait de plus en plus, ces épouvantables grincement ne cessaient plus. J’étais inquiet et craintif, c’était tout proche. Il y a eu un silence, puis il y eu un horrible bruit, la porte s’ouvrit. J’ouvris à peine les yeux et regardai discrètement ce qu’il se passait, il y avait une ombre imposante, je mis ma main sur l’arme qui était sous mon oreiller. Le temps me paraissait long, chaque seconde ressemblait à des heures, cet atroce sentiment me faisait paniquer, je n’en pouvais plus, je passai a l’action. Je pris l’arme et fis le signe, je visais l’homme avec l’arme, cet homme mystérieux que je voyais à peine dans le noir. Je le regardai attentivement, un détail me frappa, il lui manquait une oreille ! Il fit un geste et surpris je n’eus d’autre choix que de tirer. La police rentra enfin dans la chambre, mais l’homme avait disparu, tel un courant d’air. J’expliquai la situation, mais la police n’en crut pas un mot. Sur les enregistrements, il n’y avait personne devant le lit…

c'est sympa comme histoire, mais c'est pour quoi?